Bonsoir, capobianco
« Ce n’est pas un parti puisque il n’y a ni carte ni cotisation »
Mais on peut y sélectionner — de quelle manière ? — 21 personnes dont la plupart quasi-inconnues pour coopter un nouveau « coordinateur » entièrement dévoué aux intérêts de Mélenchon. Et cela en éliminant des instances quelques-uns des plus forts tempéraments du mouvement dont deux ont d’ores et déjà annoncé être intéressés par une candidature à la présidentielle.
Sans doute allez-vous m’éclairer et avec moi tous ceux que choque ce fonctionnement pour le moins opaque...
Je n’ai jamais prétendu que LFI soit un « parti totalitaire ». Je dénonce une « dérive totalitaire » qui n’est le fait que d’une poignée de caciques — Bompard en tête — qui entendent tout « verrouiller » au service de Mélenchon.
J’ajoute que jamais je n’ai voulu « démonter » LFI. C’est précisément parce que je voudrait que ce mouvement soit exemplaire — condition sine qua non d’une réussite électorale — que je bride pas mes mots pour en décrire le fonctionnement et les dérives !