Je vois dans ce projet l’envie désespérée de s’accrocher à la vision d’un monde qui nous envoie dans les décors.
On sait déjà que ces produits à ARNm ont été baptisés outrageusement vite « vaccins » alors qu’ils ont bafoué toutes les procédures de sécurité imposées à tout candidat vaccin. On ignorait quasiment tout de ces produits avant l’imposition dans la contrainte et même la violence à la population sans aucune possibilité de consentement éclairé .
On a donc découvert sans surprise que le virus mutait plus vite qu’on ne peut fabriquer un « vaccin » contre le mutant actif (on s’est retrouvé à vacciner massivement contre le virus de l’hiver 2019/2020 au milieu de l’année 2021, ce qui relevait plus du cirque que de la prophylaxie), qu’il n’offrait qu’une protection dérisoire au fil du temps contre la contamination et la transmission et pire que sa protection contre les formes graves et le décès s’érodaient eux-même sérieusement assez rapidement. 23% des américains mourant du Covid-19 était complètement « vaccinés » début 2022, 58% au dernier examen en ce début d’automne et à terme on s’attend au même pourcentage que celui des vaccinés (ce qui indiquerait l’absence de bénéfice comparé aux non vaccinés).
Contre ce coronavirus, l’idée même qu’une contamination antérieure ou un « vaccin » puisse offrir un rempart à une nouvelle contamination relève de la pensée magique, on en a la preuve, rendant le pass sanitaire passé ou futur comparable à une ligne « Maginot ».
Mais se souvenir qu’on a imposé le masque en extérieur sans qu’aucune étude ne puisse indiquer un bénéfice à le faire. Les plus récentes études indiquent même qu’il n’y a aucun bénéfice réel à porter les masques réputés les plus « protecteurs » chez le personnel soignant.
Ce que dit la science sur les confinements, les masques, la vaccination en pleine pandémie, les pratiques « taille unique », les « pass sanitaires » et autres, ils s’en foutent complètement. Quelqu’un a encore un doute ?
Ce qu’ils nous disent est qu’ils ne reviendront pas sur la pérennité du transport aérien de masse, véhiculant en quelques heures un nouveau pathogène majeur aux quatre coins du monde en quelques jours. Peu importe que l’empreinte environnementale de ce mode de transport soit abyssal, peu importe qu’une infime fraction de la population mondiale l’utilise régulièrement.
Ils nous emmerdent, point...