@velosolex
Nous serions moins en danger si l’occident n’avait pas étendu l’UE et l’OTAN jusque dans l’avant cour de l’Ours, qui a pris cela évidemment comme une menace et provocation.

Aviez-vous entendu la moindre revendication des dirigeants russes d’annexion de la Crimée ou du Donbass avant 2014 ?
On a donc mis en danger l’Ukraine, qui était la ligne rouge, en l’attirant dans le giron atlantiste. Et si on aide tant l’Ukraine, il y a une part de culpabilité. Un autre aspect est la nature ultra nationaliste de l’après Maïda, ayant brimé les populations russophones, nourrissant ainsi les sentiments séparatistes (comme si un gouvernement nationaliste flamingant en Belgique interdisait l’enseignement du Français en Wallonie).

Pour la question de la collaboration soviétique avec le nazisme entre 39 et 41, ce n’est à à moi qu’il faut le dire, je l’ai récemment rappelé aux ultra-pro-tusses majoritaires sur ce site. Ma position est le refus de la politique des blocs (position gaulliste).

Vous parliez de troll et d’entrisme militant, mais c’est le cas des deux côtés. ainsi, on voit systématiquement des jeunes et blondes ukrainiennes ou dissidentes russes bien maquillées sur les plateaux télé, qui évidemment plaident leur cause (mais à les voir, le misérabilisme ne passe pas). Et lorsque vous rapportez cette déclaration ’’Les pertes sont effroyables. Quatre-vingt-dix-neuf pour cent périssent ...’’, il faut avoir un minimum d’esprit critique et de bon sens élémentaire, 99% c’est bien évidemment impossible, c’est de la communication de guerre.

La guerre c’est la guerre, il y a par nature des violences, des morts, des blessés et des destruction, et plus dure la guerre plus le bilan s’allourdi
La négociation n’est pas la capitulation, chacun devra faire des concessions,

Bien évidemment les ’’positions de départ’’ de chaque camp avant la négociation sont maximalistes, pour avoir du mou afin de céder ce qu’ils savent sans le dire ne pas pouvoir garder.