@samy Levrai
Il
ne s’agit pas de prendre parti en faveur de la Russie ni de
défendre Moscou. Mais nous ne pouvons accepter que soient diffusées
sans discontinuer depuis l’automne 2021 – et surtout depuis
le 24 février 2022 –, autant d’informations partiales ou
fausses.
Dès
lors, on est en droit de s’interroger quant au rôle des
différentes cellules de lutte contre la désinformation mises en
place en France et dans les pays européens. Dans la mesure où
tous les médias russes sont interdits. Il est légitime de se
demander ce qu’elles font afin d’évaluer la réalité, la forme
et la portée de la propagande de Moscou et son impact sur l’opinion.
Sans doute serait-il temps qu’elles
s’intéressent à la désinformation ukrainienne véhiculée par
nos médias…