@Clark Kent
La différence entre les Etats unis et l’ex URSS en terme de « colonisation », envers l’europe, c’est que les premiers se sont montrés plus civilisés, et malins que les seconds.
Il y a de façon de mettre sous tutelle. Par la force, ou par la séduction, la promesse d’’un idéal. Rome il y a plus de 2000 ans proposait déjà ce modèle aux pays conquis, par une deal , un contrat, où on echange d’appartenir à l’empire, et d’apporter des supplétifs armés, les citoyens étaient respectés dans leurs droits et leurs coutumes, même religieuse. 
L’amérique a sans doute bien des défauts, mais ils ont incarné aux aussi un rêve, un idéal qui n’a pas eu besoin d’utiliser la force pour s’imposer. L’Urss elle n’utilisa que les tanks, les camps d’internement pour les opposants, que ce soit en Pologne, en Hongrie, ou en Tchechoslovaquie.
Des techniques d’épouvante et d’oppression que Poutine a un peu plus potentialisé, au rebour de l’histoire du monde. En ce sens, il s’est condamné, par sa bétise, sa perversion et sa vatuité. Si un putsh ne la balance par la fenêtre, il finira devant un tribunal, avec une palanquée de responsables. L’histoire l’a déjà condamné. 
Ce n’est pas pour rien que tous ces pays se sont ralliés à l’europe, qui s’avère un refug. Et ce n’est pas l’’opération génocidaire ukrainienne qui va améliorer les choses. Au contraire, cette fois ci les plus indépendantistes veulent adhérer à l’otan, prenant Poutine de cours....Cet imbécile ne fait que des erreurs contreproductives. On attrappe pas les mouches avec du vinaigre, comme on dit chez nous. Les barbelés et les camps, le NKGB, ce n’est pas une bonne image promotionnelle. 
C’est toujours la même direction faussée qui s’impose dans ce genre d’échange. L’interlocuteur peu à peu se dévoile et montre son vrai visage d’influenceur.