Coté dopage, nous n’étions pas en reste non plus. Mon père, fantassin bouche-trou entre les ouvrage Maginot, a pu combattre pendant presque trois jours non-stop sans dormir. il m’a dit qu’on leur avait dilué un produit dans le pinard (mais ça il ne l’a su que bien après). De la Benzédrine, probablement.