L’autocritique forcée avec humiliation publique, facilitée par les réseaux sociaux, est la méthode de plus en plus employée dans notre pays. Bon, on ne va pas toujours en prison (comme en Russie ou en Chine), mais des plaintes sont déposées, des mises en examen prononcées, le lynchage médiatique systématique fait toujours son oeuvre ... les résultats sont là : des « aveux » sous la contrainte. Bref, de la dictature, pas physique, mais de la vraie dictature qui fait mal.