Bonjour, PascalDemoriane
Vous résumez mal : il ne s’agit pas d’« écrits apocryphes », l’écriture du curé Suchaire sur les cornets de tabac n’ayant jamais été mise en doute. Quant à la « substance » des « confessions orales », elle semble avoir été transcrite très fidèlement sur les carnets du prêtre.
Cela dit, d’une manière générale, c’est l’élément plaisant de cette histoire qui en fait le sel !