@Bernard Mitjavile
Le mal, dont il faut percevoir l’origine, n’existe que grâce à son emprise, s’il ne trouve plus de prises où s’accrocher, il disparaît, les prises sont en nous.
Nous percevons sans trop de difficultés le mal dans ses excès extraordinaires, l’Histoire en regorge et paradoxalement parfois encense perversement leurs auteurs, mais le mal ordinaire ‘’lui’’ passe inaperçu tant il est courant, il est bien tapi, bien installé dans la vie (notre vie) de tous les jours.