@arthes,
Merci pour le poème.
Baudelaire n’a pas trouver son bonheur à Bruxelles.
Dans ses dernières années, il se fixe à Bruxelles où il rend plusieurs visites à Victor Hugo (logé sur la Grand-Place de Bxl), exilé politique volontaire. Il prépare un pamphlet contre son éphémère pays d’accueil qui représente, à ses yeux, une caricature de la France bourgeoise. Le féroce « Pauvre Belgique » restera inachevé. Souhaitant la mort d’un royaume qu’il juge artificiel, il en résume l’épitaphe en un mot : Enfin !
Il pensais que les Bruxellois allaient lui rendre les honneurs à bras ouverts lors de son arrivée. Mal lui en prit et il n’a pas supporté l’offense à sa gloire.
Si vous ne connaissez pas l’esprit du zwanseur qui se ressent en tant que zinneke, cela ne pouvait que mal se passer.
Regardez cette vidéo clichés... Pas mal faite.