Jean Tirole n’a pas été couronné du prix Nobel par hasard, c’est un ultra-libéral, prônant la disparition de régulation des marchés par l’Etat, et adepte d’une future taxe carbone, proposée dans les années 2000, et dont personne n’a voulu. C’est un apparatchik systémique et forcément dans les hautes sphères du pouvoir. Ce que dit Tirole, par conséquent peut se réfuter économiquement parlant, par opposition à sa vision ultra-libérale de la société.
Dans le projet de globalisation de l’économie, la finance trouvera toujours des théoriciens dévoués et dociles, donc récompensés par des prix élogieux.