Jean Keim

@lephénix

Pardon mais je vais me citer : « ... est humain celui qui se sent redevable et responsable des êtres humains et de leur environnement. »

Notre environnement inclus bien évidemment notre planète, il commence chez soi et continue dehors au seuil de notre porte, d’ailleurs je ne sais pas si vouloir défendre la Terre a du sens, mais ne pas l’attaquer me semble judicieux.

@saint louis

Comme le dit la chanson, nous sommes le monde, c’est un fait que l’intellect limité peine à saisir.

@Brutus

Soyons logiques, il se s’agit pas de défendre les pauvres parce qu’ils sont pauvres, mais d’interdire aux riches d’être riches, comme j’ai une retraite de xxx €, il me semble juste que celui qui dépasse ce montant de disons 10 % soit considéré comme riche.

Une villa de 720 m2, mais quelle est la surface de la piscine ? Peut-être même qu’il n’y en a pas qu’une, c’est très tendance, une intérieure, une extérieure... connaissant le côté chaleureux de OS il a dû aménager des chambres d’hôtes.

@Hervé Hum

Aller encore un commentaire... Vous noterez que je resterai mesuré dans mes propos.

Ego, mode de penser, personnalité, moi-je, soi, savoirs..., et même contenus de mémoires, tous ces vocables désignent des aspects différents d’une même individualité ; le mot le plus tendance est ego.

Vous me semblez noyer le tout dans un déluge de mots, alors je vais simplifier puisque apparemment vous ne percevez pas complètement la nature et donc l’implication de l’ego dans notre existence : l’ego n’est pratiquement fait que de savoirs, c’est à dire de toutes sortes de choses mémorisées, on peut dire de choses qui souvent n’ont pas été menées à leur terme ; que l’on soit individualistes ou grégaires ne change rien.

L’ego s’accommode très bien de tout ce qui lui permet de perdurer voire de se renforcer, vouloir le modifier agit de même, c’est un processus notamment récursif et récurrent.

Mettre à part un savoir particulier comme le principe de causalité, n’est-ce pas l’élever au niveau d’une idéologie ? En tout cas c’est ce que je perçois.