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christophe nicolas 2 juillet 2015 15:08
christophe nicolas

La recherche financée par le privé peut devenir partiale, cela paraît clair mais il y a aussi une limite des thérapies chimiques qui doit apparaître. Je pense qu’on est sur une voie qui se stérilise et qui atteint sa limite, forcément ça coûte beaucoup plus cher pour peu de résultats en plus et un peu de confort supplémentaire.


C’est le syndrome du F35 Américain... qui avance pour mieux reculer.

A ce titre, il faut rappeler que la recherche dans le nucléaire dépend du CEA et du ministère de l’industrie et non pas du ministre de la recherche et qu’ITER est tout de même le plus grand gâchis de l’histoire scientifique alors je ne suis pas certain que les gens de la physique des particules soient un modèle en la matière, je rappelle que certains réacteurs à fusion froide sont désormais opérationnels mais restent difficilement exploitables si la science officielle ne se saisit pas de l’affaire. 

La précision n’est pas un gage d’efficacité puisque pour des durées très courtes on sait très bien qu’on fait apparaître de nouvelles particules et cela à l’infini ce qui n’a aucun intérêt particulier.

Tout cela montre que la physique des particules va dans le mur comme la recherche des thérapies chimiques parce qu’on est sur des mauvaises voies. En physique, il est clair qu’il faut revenir vers la fusion froide, d’ailleurs on voit très rapidement les conséquences pour la diététique puisque ces réactions ne rentrent pas dans les bilans actuels or on sait très bien que certains gros ne maigrissent pas malgré les régimes et que certains maigres ne grossissent pas en mangeant beaucoup, preuve qu’il y a des réactions hors bilan dans le corps humain.

Le problème de la recherche actuelle vient de son dogmatisme académique qui refuse d’admettre qu’on a un siècle et demi de mauvaise science derrière nous, même si tout n’est pas mauvais, évidemment, mais on ne l’a pas prise par le bon bout.

Le problème des financements privés viennent du fait qu’ils refusent de financer une énergie nouvelle qui ferait décroître son chiffre d’affaire, le privé peut y voir une menace alors que notre survie en dépend. Il va falloir choisir entre le culte de l’argent et la vie.



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