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Thierry SALADIN

Thierry SALADIN

Médecin généraliste, depuis peu retraité. Je m'intéresse entre autres à l'Histoire, l'Astronomie, la Paléontologie, la Politique, la Défense de la langue française et la Communication internationale, donc à l'espéranto que j'ai appris et que j'enseigne. Je suis enseignant diplômé pour cette langue.
Comme Jean Dutourd, de l'Académie française, je pense que "la langue française n'est pas malade, elle est en guerre. Elle est victime d'une agression. Elle est envahie par les armées du sabir qui la ravagent comme les armées anglaises ravageaient la France pendant la guerre de Cent Ans."
Cette conviction m'a conduit à m'intéresser à l'espéranto qui, en cette époque de mondialisation, m'apparaît comme étant la seule solution raisonnable pour protéger notre langue maternelle et, de manière générale, toutes les langues. La construction européenne, qui est un formidable piège, posé entre autres à notre pays, aurait pu être l'occasion de montrer au monde la voie à suivre : adopter une langue neutre, équitable : l'espéranto. Et ce afin de faciliter la communication et un débat démocratique. Mais voilà, non seulement les esprits — ceux du peuple — sont actuellement "bloqués" contre cette langue pour des raisons touchant à l'ignorance et à l'irrationnel, mais les promoteurs de cette fichue Union Européenne, eux, ont une idée derrière la tête : imposer l'anglais. À petit feu, c'est-à-dire imposer de façon subreptice l'objectif d'une langue unique (comprendre l'anglais), et ce sans débat, jusqu'au moment où l'adoption de cette langue deviendra virtuellement inévitable.
Mais pour contrer de tels projets, autrement dit expliquer cet état de fait, même aux partisans du Frexit, et notamment que l'anglais imposé fait bel et bien partie d'un plan destiné à asservir les peuples, il y a du pain sur la planche ! Ainsi sont les hommes...

Tableau de bord

  • Premier article le 26/01/2012
  • Modérateur depuis le 02/09/2013
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Derniers commentaires



  • Thierry SALADIN Thierry SALADIN 1er juin 10:56

    @skirlet
    Il est autorisé dans le cadre périscolaire depuis Jean Zay.
    Absolument.
    Et pas « dans les années 20 » comme le dit Fergus, mais dans les années 1936 et suivantes (cf : le gouvernement du Front populaire)
    Une circulaire, qui d’ailleurs n’a jamais été remise en cause, tous gouvernements confondus. Ni remise en cause, ni reconsidérée d’ailleurs dans le but d’une éventuelle réactualisation...
    Bien à vous.

    Thierry Saladin



  • Thierry SALADIN Thierry SALADIN 30 mai 22:29

    Bonsoir Panoramix,

    Pour répondre à la question que vous posiez à Hervé Hum, personnellement je vous proposerai ce lien internet :
    https://bernardsergent.fr/wp-content/uploads/2020/09/Esperanto-propedeutique2019.pdf

    Lisez notamment le bilan pédagogique pp. 16-17

    Bien cordialement.

    Thierry Saladin



  • Thierry SALADIN Thierry SALADIN 30 mai 18:36

    Bonjour Seth,

    Vous écrivez : (...) De plus l’esperanto est une langue occidentale et même romane pour aussi mondiale qu’elle prétende être et donc inutilisable dans une très grande partie du monde à moins d’études fastidieuses.

    Pour être précis, je vous répondrai trois choses :
    1) D’abord que j’ai déjà entendu un linguiste qui — à l’issue d’une conférence tenue à Montpellier à la fin des années 1990 — affirmait, un peu comme vous, et je le cite : « l’espéranto est une langue romane ». C’est-à-dire latine.
    Ce qui va a priori dans votre sens.

    Sauf que l’espéranto n’est pas du tout latin — ou roman comme le sous-entendait cet universitaire, dont présentement le nom ne me revient pas (mais cela n’a aucune importance) — mais précisément une synthèse (et non un mélange) des langues latines, ET germaniques, ET slaves.
     

    Ça, c’est pour le vocabulaire. Sur ce point, l’espéranto est donc une véritable langue européenne (si on met de côté le hongrois, le basque, le finnois, l’estonien et le turc qui n’appartiennent pas aux langues européennes : d’un point de vue famille linguistique s’entend. Lesquelles sont toutes des langues flexionnelles, alors que ces cinq-là sont agglutinantes.

    2) Quant à la manière de construire les mots en espéranto, c’est calqué EXACTEMENT sur les langues que je vous cite maintenant : le chinois, le tibétain, le thaï, et le vietnamien.
    Lesquelles langues sont appelées par les linguistes des langues isolantes.

    3) S’agissant maintenant de toutes les autres langues parlées sur la planète — les linguistes (ce que je ne suis pas) les qualifient de langues agglutinantes — leur structure lexicale ne s’apparente pas exactement à l’espéranto, comme c’est le cas pour les langues isolantes, c’est vrai, mais elle s’en rapproche beaucoup. Et ce à la différence des langues dites flexionnelles qui sont étrangères à ce type de construction lexicale.

    Maintenant libre à vous d’aller vérifier, ou de ne pas aller vérifier, ce que je viens de vous écrire.

    Et je terminerai en précisant deux autres choses :
    90% des gens — que ce soit sur AV ou bien ailleurs — qui disent une erreur sur ce sujet qu’est l’espéranto (croyant bien faire, cependant) ne prennent pas (ne prennent JAMAIS ?) la peine d’aller vérifier l’information qu’on peut leur donner.
    C’est probablement plus rassurant pour elles : la nature humaine étant ainsi faite.

    Elle répètent donc, quelque temps après, la même... — oserais-je dire le mot qui conviendrait en pareil cas ? — ânerie.
    Une croyance se substitue alors à... une ignorance ignorée.

    Quant à la question plus générale de l’espéranto, vous comprendrez que je ne souhaite pas m’exprimer ici.
    Ce sujet étant bien trop vaste.

    Bien cordialement, et merci pour votre attention.

    Thierry Saladin

    P.S. : pour le cas où vous seriez intéressé, voici ce lien internet :
    http://claudepiron.free.fr/



  • Thierry SALADIN Thierry SALADIN 24 mai 13:16

    Bonjour Eric F,

    Vous écrivez avec raison : ’’frexit’’ est un anglicisme, il faut trouver un autre terme« 

    Il y en a un qui est aussi employé et depuis longtemps, c’est la triple sortie.
    Triple sortie pour UE, Euro et OTAN.

    Et il y en a même — dont votre serviteur — qui sont favorables à la quadruple sortie :
    C’est-à-dire sortie de l’ UE, de l’euro, de l’Otan ET AUSSI du tout-anglais.
    M’est avis que cela devrait vous plaire.
    Si c’est le cas, bienvenue au club !

    M’est avis aussi que seront quelque peu nombreux ceux qui ne comprendront pas bien l’intérêt de la quadruple sortie, alors qu’ils sont favorables à la triple.

    Tout cela mériterait quelques explications : pour les excuser s’entend. En effet, derrière tout ça il y a un sacré plan, un plan diabolique, certes, mais génial. Et il faudrait que je décrive cette affaire sous forme d’un article sur AV.
    Mais, le temps me manque. Je vais néanmoins m’y mettre. L’article devrait avoir pour titre : »Communication internationale : mythes et réalités", ou quelque chose du genre.

    Merci pour votre patience. Et sans doute aussi pour votre soutien.

    Bien cordialement.

    Thierry Saladin



  • Thierry SALADIN Thierry SALADIN 23 mai 22:01
    à l’auteur,

    Je soutiens entièrement votre thèse s’agissant de la personnalité de François Asselineau qui le dessert profondément, et aussi de sa stratégie consistant à refuser de s’allier (préférant plutôt demander aux autres de bien vouloir le rallier) avec des formations comme le PRCF, le Pardem, Solidarité et Progrès (S&P), Génération Frexit, voire République Souveraine (RS) de George Kuzmanovic (l’ancien bras droit de Mélenchon en 2017), et même Les Patriotes (même si l’ex-chevènementiste Florian Philippot s’est quelque peu perdu en allant frayer au FN) : lesdites formations étant toutes également pour la triple sortie, ou peu s’en faut pour RS et S&P.

    Finalement, FA est un homme seul, désespérément seul. Mais cela n’a pas toujours été le cas. Il fut un temps où il avait à ses côtés, des gens comme Valérie Bugault, Régis Chamagne, Charles-Henri Gallois, et aussi une armée de militants (> 24000 au compteur sur la page d’accueil du site de l’UPR jusqu’au début de 2020).

    Tout ça est bien fini depuis la crise de l’UPR en 2020. Je ne prends pas position sur la nature de cette affaire, je ne fais que constater.

    Un dernier mot : savez-vous pourquoi la réunion électorale du vendredi 6 octobre 2023 à Toulouse n’est toujours pas accessible en ce qui concerne les questions-réponses (donc la seconde partie) ?
    Moi je sais : j’y étais.

    Bien cordialement.

    Thierry Saladin
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