j’imagine que la plupart des Japonais
préféreraient rester chez eux. Certes, proposer un accueil dans un autre pays
peut provoquer un sursaut d’orgueil chez le gouvernement japonais. Mais le plus urgent est de dénoncer très fort son
immobilisme et de faire un maximum de tapage sur la situation de détresse
dans lequel sont laissés les sinistrés. C’est ce qu’on fait en ce moment, à
notre échelle. Apparemment il y reste beaucoup de boulot.