Le 21 juillet 2005, les journaleux nous apprennent que près de Béziers, un homme, Gaston Malafosse, surnommé immédiatement « le fou de Bessan » avait tiré sur une bande de jeunes, dans un accès de démence. Mis en prison, ce retraité se pendra deux jours après, dans sa cellule. L’enquête de Bénédicte Charles, de Marianne, prend le contre-pied de la version officielle. Depuis des années,on y apprend que le maire, Robert Raluy, et à Gaston Malafosse étaient les deux seuls habitants à refuser de baisser la tête et les yeux devant les insultes, les provocations et lers agressions de voyous qui faisaient régner la terreur .
http://www.marianne2.fr/LA-VERITABLE-HISTOIRE-DU-FOU-DE-BESSAN_a111208.html
La bienpensance ne supporte les « Céfrans » que soumis et (ou) victimes.