@ Radis Call
Prenons le cas particulier des romanciers. Si tu corriges par l’impôt l’écart de revenus entre les plus gros et les plus faibles vendeurs, cela constituera non seulement un encouragement pour les moins talentueux des romanciers, mais pire, cela constituera une injustice flagrante. Car dans les faits, ça reviendra au même que d’accorder aux plus mauvais romanciers un pourcentage de droits d’auteurs sur chaque livre plus élevés que celui dévolu aux meilleurs. Bref, une incitation manifeste à la médiocrité !!!
Car il va de soi que pour vendre comme Dan Brown 82 millions d’exemplaires d’un livre, il faut nécessairement du talent !