je me suis déjà expliqué sur les raisons qui, d’une part m’ont poussé à abréger cette série d’articles et, d’autre part, ont présidé au choix de Bin Laden. Si vous aviez été un peu plus loin que le titre, cher monsieur, vous l’auriez lu et, souhaitons-le, compris. Je ne vais donc pas me donner la peine de m’en réexpliquer.
Quant au choix du titre... je n’ai pas pu résister. Trop tentant.