Ce qui est assez consternant, voire inquiétant, c’est que cette production industrielle d’articles de prêt-à-penser à la gloire de Royal reçoive systématiquement l’aval de la rédaction d’Agoravox.
Que Jules nous serve sa soupe, passe encore. Qu’il le fasse 3 fois par semaine et durant des mois avec la bénédiction d’Agoravox... Franchement, on finit par se poser des questions.