Marie, Comme je vous l’ai déjà dit : « Je pense donc que sous nos latitudes, nos grands-pères et nos pères ont fait ce qu’il fallait pour que nous n’ayons ni faim, ni soif, ni froid ni chaud de façon régulière et durable. », par conséquent, ce sont les pères et les grands-pères de ceux qui ont faim, soif, froid ou chaud, qui n’ont pas fait ce qu’il fallait au moment où il l’aurait fallu.
Nous n’en portons, nous, aucune responsabilité.