« Là je crois que tout est dit. L’argent n’a pas d’odeur, mais il a maintenant une langue... »
Bien dit. Mais il faudra un jour en finir avec ce mythe de l’importance de l’anglais dans l’entreprise. La plupart des entreprises françaises s’en cognent, passez-moi l’expression : il suffit d’avoir entendu Laurence Parisot baragouiner la langue de Shakespeare pour s’en rendre compte. Et à formation égale, la maîtrise d’une langue, voire de plusieurs, ne constituera jamais un avantage dans le cadre d’un recrutement.
Frédéric Alexandroff