Quel génie, quelle flamme, quelle beauté surnaturelle !,
Cette grande Dame de la chanson semble se surpasser à chaque album :
1. beauté et présence de la voix, proche du bel canto post-verdien voire post-wagnérien ;
2. sublime orchestration (on est quelque part entre le génie berlozien et ravélien, cette manière française de magnifier l’orchestre avec finesse, goût et subtilité) ;
3. textes oscillant entre le prodigieux et le poétique (que sont Hugo et Nerval face à un tel déluge de rimes proche des altitudes ciruléennes ?).
Merci Madame pour ces instants de pur bonheur : longue vie à vous et gloire aux plus haut des cieux à votre divin époux : que les forces célestes vous aient en leur sainte garde.