Si on commence à rentrer des articles en cuivre à l’hôpital, ça va vite être le tonneau des Danaïdes. Ils vont ressortir au fur et à mesure, un peu comme les écrans plats, sauf que là, pas question de leur mettre un fil à la patte.
C’est triste à dire, mais c’est plus réalisable en pratique de maintenir les traitements antibiotiques que de mettre du cuivre partout.
Il faut aussi être pragmatique sur les infections nosocomiales : s’il y en avait moins avant, c’est d’une part parce qu’elles n’avaient pas été encore reconnues comme telles, d’autre part parce que les gens mourraient de leur maladie.