@Clocel
Le nombre de chromosomes est, au contraire, selon moi, déterminant.
Ce nombre de chromosomes détermine certains « caractères » supplémentaires de ces blés « modifiés » par croisements. Et ces modifications concernent leur résistance à leurs « prédateurs ». L’être humain consomme ces blés et consomment les « antinutriments » développés par ces nouveaux blés.
Ainsi, le nombre de chromosomes informe le « consommateur » de la teneur en antinutriments des céréales. Certes, les bactéries qui se développent lors de la fermentation de la pâte à pain grâce au levain « désamorcent » les antinutriments contenus dans les céréales. Mais ce pain au levain, à fermentation lente, est difficile à trouver. Cela concerne même pas 10% de la production de pain.
Par ailleurs, les méthodes ancestrales de préparation des plantes (trempage, fermentation) ont été abandonnées les unes après les autres.