Bonjour Lilou
A propos des énergies dites fossiles, on ne sait pas ce qu’il
adviendra. Ne pas oublier qu’il existe une autre théorie sur l’origine du
pétrole autre que celles fossiles, très peu connue jusqu’à ce jour, pour des
raisons complexes ; VOIR le lien.
https://blogs.mediapart.fr/jean-paul-baquiast/blog/280315/petrole-biotique-ou-petrole-abiotique
Développée dans les années cinquante du 20e siècle par des
géologues russes et ukrainiens, elle réfute l’hypothèse selon laquelle le
pétrole proviendrait de détritus biologiques fossilisés et affirme qu’il dérive
de molécules hydrocarbonées qui furent emprisonnées dans la croûte terrestre
lors de la formation de la terre, il y a 4,5 milliards d’années. Le pétrole se
serait donc formé à partir de la roche cristalline précambrienne et non de
fossiles. Comme il n’aurait pas résulté de causes biologiques, il est dit abiologique ou abiotique. Ce pétrole serait généré dans les couches
géologiques profondes. Mais dans certaines conditions favorables, liées par
exemple à l’existence de failles, il pourrait remonter vers la surface.
Je vous invite à bien
lire ce document en lien ;
J’en profite pour
vous engager à réfléchir sur une des
causes possible de l’intérêt des Russes pour le DONBASS, secteur ou les
recherches engagées ont confirmé la présence de ce type de pétrole.
Extraits
« On a fait
valoir que la science communiste fut longtemps discréditée à l’ouest par l’affaire
Lyssenko. Mais la raison n’est pas suffisante, car la science russe, y compris
sous l’ère stalinienne, a produit et produit encore des résultats la plaçant au
niveau des meilleurs du monde. Une autre raison, qui reste à démonter mais qui
paraît plus sérieuse, est que le gouvernement communiste, puis russe, n’a pas tenu à donner de précisions sur
les travaux entrepris avec succès, notamment dans le bassin Dnieper-Donets,
région située entre la Russie et l’Ukraine et considérée pendant plus de
quarante-cinq ans comme un bassin géologiquement stérile. Or le pourcentage
de résultat des forages ayant eu des résultats productifs y a été supérieur au
moins de moitié à celui des forages conduits dans d’autres parties du monde. On
pense aujourd’hui que des champs considérables existent dans cette zone, comme
d’ailleurs dans d’autres régions du territoire russe ou dans des fonds
sous-marins appartenant à la zone économique exclusive russe. Or pourquoi ce
peu de publicité donné à ces hypothèses par le gouvernement russe, y compris
aujourd’hui par Vladimir Poutine ? Comment se fait-il que parallèlement les
complexes industriellos-politiques du pétrole et du gaz, extrêmement puissants
dans le monde, comme nous l’avons rappelé plus haut, n’abordent pas la
question ? »