@Ecométa
Il n’y a pas de deuxième vague mais un tsunami de test pour faire croire à une deuxième vague : une « testiculite » aiguë !
pas de bol !
depuis 5 semaines le nb de tests diminue et le nombre de cas positifs augmente ... on teste moins pour ne pas saturer les labos et on teste mieux pour détecter les positifs ... la qualité avant la quantité ... ce qui aurait du être fait depuis longtemps d’ailleurs
les chiffres et les preuves sont à l’Insee, ceci, surtout en Ile de France !
évidemment, pas de lien ... même s’il est vrai que des choix ont été fait dans certains hôpitaux saturés en avril ... mais pas par insouciance ... par saturation