Mais ils s’en fichent que des gens soient malades d’ici 20 ou 30 ans. D’ici là, le pb du vaccin sera oublié, d’autres médicaments seront disponibles d’autres maladies auront pris la place (si nécessaire, on les invente en abaissant le taux « normal » d’une quelconque donnée) et le blé n’en finira pas de rentrer. Du pur marketing, au prix de quelques (sic...) décès. L’omelette et les œufs, vous connaissez ?