En France, on aime bien taper sur les gendarmes.
C’est culturel.
Mais quand il y en a un qui mord définitivement la poussière en opération, le grand public n’a qu’une envie, voir le responsable se faire décapiter en place publique.
S’il y a un assaut, et si un pandore meurt, c’en sera définitivement fini de la mansuétude du public pour les zadistes.