Je ne pense pas que dans une seule équation que Milton Friedman a pu écrire pour faire croire à l’aspect science « dure » de l’économie, figure la notion de finitude du monde et de ses richesses. A partir de là, peu importe que l’on ne soit pas à l’optimum économique tel que le voudrait les néolibéraux, on ne s’en sortira pas sans une intervention des états ou des organisations internationales. On est donc obligé de renvoyer aux poubelles de l’histoire tout ce que l’école de Chicago a pu écrire ou faire depuis un demi-siècle.