@Daniel Roux Les bons parents gèrent le compromis entre la protection et l’exposition à la vie. L’exemple donné a plus d’efficacité qu’un conseil : c’est sûr, on comprend bien que les écoles Montessori accessibles à tous, ça fait rêver...
Cette école toujours sur le modèle taylorien, ça pose tout de même problème. Moi, je trouve que cet article de Monolecte est intéressant et qu’il pose bien l’autre face de ce que dit Daniel Roux : c’est aussi que la vie professionnelle des parents est aujourd’hui beaucoup moins visible pour les enfants qu’il y a 100 ans. L’activité salariée des parents est abstraite, impénétrable pour les enfants, et donc la transmission des pratiques posent des problèmes. Mais les parents restent absents de l’école, il y a un problème d’équilibre qui s’est modifié.