L’homme avance, trébuche, se trompe lui-même et, devant la
peur de sa propre mort se réfugie dans une folie consommatrice. Il s’abrite
derrière des lois, se justifie à coup de religion et avec désinvolture et
mensonge trahit le message d’un fou génial qui a eu le malheur de leurs dire : « Aimez
vous les uns les autres… ». Tant que l’homme vivra en ne pensant qu’à sa
brève et éphémère présence terrestre, la peur de l’échéance viendra brouillée la
vérité et la réalité de sa destiné universelle. Infiniment votre.