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Thierry SALADIN Thierry SALADIN 17 août 2013 17:49

Merci pour cet article.

L’anglais, c’est-à-dire le globiche, envahit tout, (par snobisme, paresse, opportunisme, envie de passer pour...) et c’est bien là le résultat qu’escomptaient les Anglo-américains au sortir de la Seconde Guerre mondiale. Ils ont fait ce qu’il fallait en payant de nombreux auxiliaires, et ce en toute discrétion et en « empêchant tout débat ». 
Mais c’est interdit d’en parler parce qu’alors on est taxé d’anti-américanisme primaire (comme s’il en existait de secondaire, tertiaire...) ou d’être contre l’anglais, ou bien de développer la théorie du complot....
Mais oui, il s’agit bien d’un complot : formater les esprits, dans l’intérêt des Anglo-américains afin que le monde adopte les vues que porte cette langue.
Et la première victime, c’est la langue anglaise elle-même, qui lentement, mais sûrement s’abâtardit. Quant aux autres langues, le français en particulier, n’en parlons pas ! (soupirs)
Peut-on faire machine arrière ?
Bien sûr, mais pour cela il faut le vouloir, et préparer les esprits. Rien que dans l’Union Européenne, l’alternative est simple : c’est et ce sera ou bien l’anglais, ou bien... l’espéranto.
Voilà une langue vivante, européenne dans son vocabulaire, une synthèse des langues latines, germaniques et slaves, qui est systématiquement écartée dès lors qu’on la propose. Elle est écartée par des ignorants ou des tireurs de ficelle. 
Vous proposez l’espéranto (et non de l’imposer) ? Jamais, on ne vous répond : "ah bon, l’espéranto ? mais pourquoi, ou comment est cette langue ? Jamais.
Non, soit on feint de ne pas vous avoir entendu, ou lu, soit on vous répond qu’il n’y a aucune raison d’imposer cette langue. Et si vous insistez, preuves à l’appui, on vous fait taire ou bien on vous assène des contre-vérités qui ne résistent pas cinq minutes à l’épreuve des faits. N’est-ce pas Elisabeth ?
Et pourtant, comme vous écrivez avec raison, cette langue s’apprend dix fois plus vite que l’anglais. 
Cherchez l’erreur.
L’espéranto, c’est comme un prévenu qui entrerait dans le box des accusés mais pouvoir bénéficier de l’assistance d’un avocat.
Qui accepterait une telle justice, totalement à charge ? 
C’est pourtant ce qui se passe vis-à-vis de l’espéranto, qui permet non seulement une aptitude à l’échange et même l’accès à l’éloquence, mais une élévation morale de l’individu.
De nouveau, cherchez l’erreur.
Mais l’histoire de l’humanité montre qu’une bonne solution finit toujours par être acceptée, et être reconnue. 
Mais pour en arriver là, il faut attendre longtemps, très longtemps, trop longtemps avec la mauvaise solution, alors que la bonne est là, toute prête, et à la disposition des hommes.
Ah, homo sapiens... !


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