Cela faisait partie d’un billet, vous vous en doutez bien, dans lequel j’ai « osé » pastiché
Le Pont Van Praet
Sous le pont Van Praet ne coule pas la Senne
Et sans nos amours
Faut-il qu’il m’en souvienne
La joie venait toujours sous la peine
Vienne la fête sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure
Les mains sur le guidon restons face à face
Tandis que sous
Le pont de nos yeux passe
Des éternels péniches par l’onde si lasse
Vienne le weekend sonne l’heure
Les bruits s’en vont et les odeurs demeurent
L’amour s’en va avec cette eau mourante
L’amour s’en va
Comme la vie est lente
Et comme l’Espérance est violente
Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont l’esprit demeure
Passent les jours et sonnent les sirènes
Ni temps passé
Ni les amours reviennent
Sous le pont Van Praet ne coule pas la Senne
Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont Bruxelles demeure