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Fergus

Fergus

Autodidacte retraité au terme d'une carrière qui m'a vu exercer des métiers très différents allant d'informaticien à responsable de formation, je vis à Dinan (Côtes d'Armor). Depuis toujours, je suis un observateur (et de temps à autre un modeste acteur) de la vie politique et sociale de mon pays. Je n'ai toutefois jamais appartenu à une quelconque chapelle politique ou syndicale, préférant le rôle d'électron libre. Ancien membre d'Amnesty International. Sur le plan sportif, j'ai encadré durant de longues années des jeunes footballeurs en région parisienne. Grand amateur de randonnée pédestre, et occasionnellement de ski (fond et alpin), j'ai également pratiqué le football durant... 32 ans au poste de gardien de but. J'aime la lecture et j'écoute chaque jour au moins une heure de musique, avec une prédilection pour le classique. Peintre amateur occasionnel, j'ai moi-même réalisé mon avatar.

Tableau de bord

  • Premier article le 31/07/2008
  • Modérateur depuis le 22/11/2008
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Derniers commentaires



  • Fergus fergus 3 mars 2008 11:37

    Beau portrait que celui de cet "imbécile cadre" que l’on rencontre en effet dans de nombreuses structures, qu’elles soient d’ailleurs privées ou publiques. A cette nuance près qu’il s’agit là d’un archétype, certes visible, mais rarement sous une forme ausi achevée et aussi croustillante. Cela précisé, quel bonheur d’ethnologue ou de sociologue lorsque l’on peut braquer sa loupe sur le comportement de ce brave serviteur d’une finalité qui le dépasse. C’en est même parfois fascinant.

    Vous avez toutefois oublié l’une des caractéristiques de cet homo sapiens servilus : sa lâcheté. Car cet homme est le plus souvent lâche, non pas devant ses chefs qu’il sert avec zèle comme l’a montré Serge Uleski, mais devant ses propres collaborateurs. Il suffit qu’un type déterminé lui rentre dans le lard avec un minimum d’argumentation intelligente pour que, déstabilisé par l’assaut, il cède à son interlocuteur en contournant l’obstacle et en fichant une paix royale à son contradicteur. Mieux : il est possible qu’il gratifie ce subordonné récalcitrant d’un avancement pour le remercier de n’avoir pas poussé trop avant la contestation de son autorité. Et le plus remarquable réside dans le comportement des collègues du contestataire : malgré l’exemple de la rébellion réussie, l’écrasante majorité continue de courber l’échine devant celui qu’elle considère pourtant comme un imbécile. Et c’est ainsi qu’Allah est grand, comme disait Vialatte, et que les classes populaires se font manger la laine sur le dos !



  • Fergus fergus 29 février 2008 13:54

    Le Requiem n’est pas l’opus que je préfère dans l’immense (au sens du talent) production de Mozart, mais en revanche l’un des plus émouvants. Merci pour cet article qui relate bien l’histoire particulière de cette oeuvre et situe parfaitement, avec un regard objectif, les rôles des différents protagonistes.



  • Fergus fergus 27 février 2008 10:10

    Très intéressant votre article. Le problème, c’est qu’il est très difficile, si l’on veut optimiser ses achats, de s’en tenir à la seule lecture des étiquettes dans un hypermarché donné. Ma femme a renouvelé hier un test déjà effectué il ya quelques mois dans ma ville de Rennes. Elle s’est rendue dans deux enseignes différentes et a relevé les prix de 20 articles de consommation très courante, strictement les mêmes, cela va de soi. Il en ressort que 12 d’entre eux étaient moins chers dans l’une de ces enseignes (de 7 à 31%) et les huit autres plus chers (de 4 à 39%). Ce petit test n’a certes pas de valeur absolue, ni de portée nationale. Il n’en démontre pas moins que comparer les prix relève de l’exploit, et cela d’autant plus que la précédente comparaison avait donné des résultats sinon opposés, du moins très différents. C’est pourquoi j’en arrive à me poser la question suivante : cette cacophonie qui échappe à toute logique apparente ne résulte-t-elle pas d’une stratégie concertée des enseignes visant à rendre impossible toute comparaison sérieuse ? Il suffirait pour cela qu’en s’appuyant sur un modèle informatique relativement facile à programmer les prix soient régulièrement modifiés dans le détail des rayons, à la hausse ou à la baisse, sans que la masse globale des recettes du magasin en soit changée. Mais peut-être suis-je dans le fantasme ? Les aberrations constatées n’en sont pourtant pas moins réelles. Quelqu’un peut-il me les expliquer ?



  • Fergus fergus 25 février 2008 16:45

    Nadine Morano n’en est, hélas, pas à son coup d’essai. Elle n’est pas pour autant une atrabilaire aigrie ou une évaporée qui ne contrôle pas sa parole, mais une porte-flingue de la Sarkozye que l’absence de scrupules et l’ambition dévorante conduisent à aller toujours plus loin dans la provocation et parfois, comme aujourd’hui, dans l’ignominie. Et cela d’autant plus qu’elle n’était plus ces derniers temps en odeur de sainteté, précisément pour cause de dérapages contre-productifs. Mais un remaniement ministériel s’annonce, et Nadine, par crainte de ne pas en être une fois de plus, outrepasse à nouveau, de manière caricaturale et terriblement choquante, la bienséance en matière de contestation politique. Une fois de encore, cela devait la disqualifier dans son propre camp. Qui s’en plaindra ? Mais comme l’a souligné Philippe Bilger, la faute est cette fois très grave dans une démocratie adulte. Je crains malheureusement que cette faute ne débouche pas sur les sanctions qui s’imposent !



  • Fergus fergus 25 février 2008 13:24

    Le comble du con, c’est de traiter de "con" un autre con !

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