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Gilles Mérivac

Gilles Mérivac

J'ai commenté pendant quelques années sur le site du figaro, mais cela ne permet pas de développer complètement ses idées. J'écris également sous le pseudonyme d'Occam de courts récits que l'on peut lire sur http://www.des-histoires.com.

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  • Premier article le 23/03/2015
  • Modérateur depuis le 11/04/2015
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Derniers commentaires



  • Gilles Mérivac Gilles Mérivac 17 novembre 2019 08:15

    Dans un monde en faillite, l’or n’est pas une valeur refuge pour les particuliers, mais une ressource stratégique pour les états. Ce sont eux qui décideront du commerce de l’or et s’ils ne veulent pas en vendre, les particuliers ne pourront pas en acheter.



  • Gilles Mérivac Gilles Mérivac 14 novembre 2019 08:11

    @Gilles Mérivac
    Ah j’oubliais, on peut quand même faire quelque chose : éviter de bétonner et d’utiliser du plastique, planter des arbres, beaucoup d’arbres.



  • Gilles Mérivac Gilles Mérivac 13 novembre 2019 18:18

    @sweach
    « est-ce mauvais pour notre environnement ? sommes nous responsable ? peut-on y faire quelques chose ? »

    Bien sûr que c’est mauvais car la tendance observée maintenant va augmenter de manière importante, rendant les sols stériles et la vie plus précaires, les dernières estimations sont très alarmantes.
    Sommes nous responsables ? Très probablement, les autres causes possibles ont été éliminées une par une, il n’y a plus guère de doute si l’on est honnête.
    Peut-on y faire quelque chose ? Rien au niveau individuel, les cartes sont dans les mains des pays les plus gourmands en énergie ou les plus prolifiques démographiquement, Chine, Inde USA, Afrique. S’ils ne font rien, la catastrophe ne peut que survenir.

    La pollution, c’est le même problème. Il y a actuellement une course contre la montre engagée par les scientifique pour tenter de sortir du tout pétrole, mais elle est loin d’être gagnée, et de toutes façon, ce n’est qu’une partie du problème, l’autre partie étant la propagande à la consommation imbécile d’objets jetables et inutiles pour la plupart.



  • Gilles Mérivac Gilles Mérivac 13 novembre 2019 16:17

    D’abord je félicite l’auteur pour son travail de recherche très documenté.

    Un vieil adage dit que nul n’est prophète en son pays, et c’est particulièrement vrai chez nous, où l’on déprécie tous ceux qui s’élèvent un peu au-dessus du lot et on encense ce qui vient de l’étranger.

    Toute théorie scientifique est entachée d’incertitudes, d’autant plus qu’elle est complexe, l’évolution du climat n’échappe pas à cette règle. Mais les données s’accumulant, les interactions se précisent davantage, il ne fait guère de doute aujourd’hui que la planète se réchauffe.

    Malheureusement, l’économie et la politique interfèrent lourdement dans ce constat, et les solutions proposées ne traitent pas le problème, parce qu’elles seraient trop contraignantes. Nous sommes donc condamnés à subir une crise qui sera à la fois climatique, économique et démographique.



  • Gilles Mérivac Gilles Mérivac 13 novembre 2019 07:40

    @Benoît Delol
    Si vous exprimez des idées générales dans beaucoup de domaines tels que la politique ou la religion ou même le social, vous allez choquer et même blesser une catégorie de gens, c’est inévitable parce que de nombreuses personnes font bloc avec leurs idées et refusent d’être déstabilisées en se remettant en cause.

    Les gens n’échangent donc plus que des banalités ou parlent de la pluie et du beau temps. Du point de vue médiatique, c’est encore pire, si quelqu’un a le malheur d’émettre une idée forte, c’est immédiatement une levée de boucliers, la personne est traitée de fasciste, ou de misogyne, ou de raciste, ou dans le cas présent, d’être sans cœur.

    Le résultat est un consensus mou que l’on appelle le politiquement correct et qui détruit peu à peu la liberté d’expression et la circulation des idées. Car il faut le souligner, le ressenti d’une insulte est, sauf dans le cas d’attaques personnelles directes, complètement subjectif. Et cela participe au déclin auquel je faisais allusion un peu plus haut. Un pays ne peut pas s’en sortir s’il refuse la confrontation des idées, fussent-elles désagréables à entendre.

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