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minusabens

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Tableau de bord

  • Premier article le 08/11/2010
  • Modérateur depuis le 20/11/2010
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Derniers commentaires



  • minusabens 14 octobre 2010 22:44

    Annie

    pour ce qui concerne les qualificatifs :

    Cruchon, bécassin, jar, gourdin ...

    Vous conviendraient-ils ?



  • minusabens 14 octobre 2010 22:27

    Bonsoir Lokerino

    D’où sortez-vous que la dépense publique représente plus de 50% du PIB ?

    Chaque pays ayant un système propre de retraite et d’assurance maladie. La question n’est pas de savoir si d’autres pays pratiquent ou non une réforme de la retraite ou de l’assurance maladie et laquelle. La question est de savoir si la retraite par répartition francaise est viable ou non. Il apparaît en observant la gestion des finances publiques que le système par répartition est mis en danger non pas par la pyramide des âges ou la hausse du chômage mais par un ensemble de facteurs parmi lesquels la politique des dispositifs dérogatoires qui représente, en cumulant les niches sociales et fiscales, 172 milliards de prélèvements obligatoires non percus en 2010. Ces prélèvements fiscaux et sociaux profitent aux employeurs de toute nature tandis qu’il est prévu un déficit de l’état de 152 milliards.

    Selon l’observatoire des prélèvements obligatoires (Cour des Comptes) une étude du DGTPE -DARES montre qu’en 2008 la sauvegarde et la création de 800.000 emplois à bas-salaires (jusqu’à 1,6 smic) auraient coûté 22,6 milliards soit 28.250 € annuels par emploi ! Pour mémoire le smic était de 1280 mensuels, c’est-à dire, que ces 800.000 emplois représentaient des travailleurs payés entre 1280 et 2050 € mensuels ou plutôt entre 15.360 et 24.600.€ annuels. Je vous laisse le soin d’estimer le profit des entreprises réalisés avec ce seul dispositif dérogatoire sur les cotisations sociales. Curieusement ces 22,6 milliards manquant dans la Caisse de la Sécurité Sociale lui auraient permis de dégager un surplus de 10,7 milliards.

    Il s’agit donc bien ici d’une question de choix politiques consistant à casser notre système social. 
    En supplément les prétendues aides à l’emploi généreusement distribuées au patronnat n’empêchent ni les délocalisations ni les pertes d’emploi , de janvier 2008 à septembre 2010 le nombre de chômeurs de catégorie 1 est passé de 7,5% de la population à 10,1% selon Eurostat (l’insee de l’Union Européenne) et représentent 500.000 personnes sans emploi de plus. 

    Pour ce qui concerne le PIB en 2009 il est d’environ 1 950 milliards et le budget de l’état de 402,60 milliards celui de la sécurité sociale 335 milliards dont 24,2 sont payés par l’état sur le budget de 402,60 milliards indiqué.

    Vous le constatez le déficit de la sécurité sociale provient des niches sociales. Celui de l’Etat des niches fiscales accordées aux entreprises et aux contribuables. Il n’est pas sain que la prétendue sauvegarde de 800.000 emplois bas salaires coûtent chacun 28.250 € annuels alors que l’entreprise profite de la main d’oeuvre pour le coup des charges sociales et produise du bénéfice sur ce poste salarial. A ce train peu importe le service ou le produit créé et vendu par l’entreprise le profit n’est plus réalisé sur la vente mais sur l’embauche ! Les entreprises n’ont plus à craindre la concurrence elle n’ont plus besoin de produire il leur suffit d’engager. C’est le comble de l’absurde ! 

    La DGTPE est la direction générale du trésor et de la politique économique (Ministère du Budget ). La DARES est la direction de l’animation et de la recherche des études statisitques (Ministère du Travail).



  • minusabens 14 octobre 2010 19:11

    Le guerrier s’est drapé de l’étoffe du doux commerçant, l’aristocrate a cédé sa place au trader efficace, les intérêts se sont substitués aux passions… et Madame Boutin s’est attribuée abusivement la profession de journaliste qu’elle n’a jamais exercée.

    A 20 ans Madame Boutin, alors Mademoiselle Martin, est attachée de presse au CNRS. Elle quitte cet emploi en 1969 pour raison familiale. En 1973 elle est adjointe au chef de service du secrétariat général du Crédit agricole.

    En 1979, elle collabore à l’organe interne de la banque "Crédit Agricole" un mensuel, à l’époque gratuit destiné, notamment, au personnel de l’entreprise. Elle y collaborera jusqu’en 1986, année où elle est élue députée des Yvelines siège qu’elle occupera jusqu’en juin 1988. 

    Madame Christine Boutin n’ayant jamais collaboré à une entreprise de Presse n’a donc jamais rempli les critères pour prétendre au statut de journaliste professionnel conformément aux lois Brachard et Cressard .

    Elle n’a donc jamais été reconnue pour journaliste par la CCIJP (Commission de la carte d’identité des journalistes professionnels) commission paritaire qui délivre la « Carte de Presse » aux journalistes professionnels, condition sine qua non pour bénéficier, notamment, des avantages fiscaux liés à cette profession. Si la maîtrise de droit public, qu’elle a étudié à Assas, est aussi réelle que sa carte de journaliste et que le célèbre diplôme de Rachida Dati : Madame Boutin a libéralement menti. Pourquoi ?

    Qu’elle veuille bien s’expliquer sur cette question.

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