......De ne pas donner la parole à des personnes qui contesteraient le fait même du réchauffement climatique .....
ça m’agace tellement ces propos de hyène ...
enfin ..
https://www.vududroit.com/2024/04/la-liberte-dexpression-ne-se-divise-pas/
La convocation par la police de Mathilde Panot est d’une gravité exceptionnelle.
Aucun
démocrate ne peut accepter ce qui est en train de se produire. La
présidente du groupe parlementaire LFI est convoqué dans , le cadre
d’une procédure pour apologie du terrorisme pour le contenu du
communiqué publié par son groupe le 7 octobre 2023.
Une officine prétendant, disposer du pouvoir d’ester en justice, a
décidé de se transformer en parquet privé et de systématiquement
poursuivre pour « apologie du terrorisme », toute personne qui s’oppose
ou critique la politique du gouvernement israélien et notamment le
massacre en cours à Gaza.
Les autorités judiciaires françaises
acceptent une telle situation, puisque le Garde des Sceaux en personne a
donné des instructions au parquet pour entamer des procédures qui sont
autant d’atteinte à la liberté d’expression pourtant garantie par
l’article article 11 de la Déclaration des Droits de l’Homme et par la
Constitution de la république.
Plus de 650 procédures ont été
diligentées sur décision des magistrats du parquet. Dont certaines ont
d’ores et déjà abouti à de lourdes condamnations
Au-delà du caractère
inepte des incriminations utilisées, force est de constater que, dans
le même temps, aucune procédure n’a été entamée contre les auteurs de
déclarations racistes, d’apologie de crimes contre l’humanité et de
crimes de guerre, qui ont inondé certains organes de presse.
Cette partialité, cette application d’un double standard, ce deux
poids deux mesures démontrent s’il en était besoin, le caractère
DIRECTEMENT POLITIQUE DES PROCEDURES ET DES DECISIONS JUDICIAIRES. Force
est également de constater que la justice française n’entend pas faire
respecter la loi mais bien exprimer son soutien à la politique
israélienne en interdisant sa critique. Par conséquent, cette partialité
prive les procédures de toute légitimité.
L’application de la loi ne se divise pas.