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Commentaire de njama

sur Georges Ibrahim Abdallah


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njama njama 4 avril 12:57

Lors de son procès aux assises, en février 1987, M. Abdallah lança :

« Si le peuple ne m’a pas confié l’honneur de participer à ces actions anti-impérialistes que vous m’attribuez, au moins j’ai l’honneur d’en être accusé par votre cour et de défendre leur légitimité face à la criminelle légitimité des bourreaux. »

[la paire de mains qui se sont opposées à sa libération légale, légitime]

 « Sur qui pouvaient donc compter les États-Unis et M. Fabius pour faire capoter, malgré cela, la libération de M. Abdallah ? La réponse est venue trois jours plus tard. Le 14 janvier 2013, le ministre de l’intérieur Manuel Valls refuse de signer l’arrêté d’expulsion de M. Abdallah. Surprise par cette intervention d’un membre de l’exécutif dans une affaire judiciaire — ce qui contredisait sa circulaire de septembre 2012 —, la ministre de la justice, Mme Taubira, réclame l’arbitrage du président de la République. M. Hollande n’intervient pas. Il laisse agir son ministre de l’intérieur, alors beaucoup plus populaire que lui. Et le militant communiste libanais reste en prison. Au Liban, sa famille avait déjà pris le chemin de l’aéroport de Beyrouth pour l’accueillir. »

https://www.monde-diplomatique.fr/2020/08/CARLES/62066

ite missa est...

L’histoire retiendra cette forfaiture


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