Les COP ne servent pas à grand-chose. Je vais être très
politiquement incorrect, ce sont juste des rassemblements réguliers d’intervenants
dont la lutte climatique est devenue la source de revenus souvent spéculatifs.
Il me semble que personne ici ne nie le réchauffement.
Ce qui pose problème, c’est la thèse du réchauffement anthropique par levier CO2 associée à
ce réchauffement, défendue par le GIEC.
Et surtout l’exploitation mercantile, et culpabilisatrice faite sur le dos des générateurs de
CO2, aussi bien les par états que par les ONG.
En matière climatique, on touche à des éléments aussi
complexes que les océans, l’atmosphère, le soleil bref la nature ; il me
parait logique que les hypothèses développées par les tenants de la théorie
anthropique du réchauffement et les
autres, ceux qui émettent des doutes à ce sujet, soient normalement exposées.
C’est loin d’être cas dans les médias.
Lorsqu’on ne veut pas avoir des œillères, on prend le temps
de chercher de lire…. de faire le tri et de jauger dans la multitude d’infos
consultables sur le net. C’est que je fais depuis plus de 20 ans ; Infos
provenant de toutes « obédiences » ;
je précise, ces dernières années j’ai
pris la peine de parcourir les derniers rapports AR4 et AR5* (quelle galère)….Heureusement j’ai dans mes relations,
quelques spécialistes de l’anglais scientifique qui me permettent de decoder.
J’essaye d’avoir le dernier AR6 2021. Je parle bien du
rapport complet, pas des SPM (résumés
pour décideurs) qui servent à tous les médias pour affoler les masses
Au passage, essayez de trouver une étude du Giec donnant la part anthropique du CO2 rejeté, dans
la totalité du CO2 dégagé dans l’atmosphère…. A part sur le site « la
physique du climat » de Camille Veyres et JM Morane https://laphysiqueduclimat.fr/
, très difficile de trouver l’info.
En ce qui concerne le CO2, on trouve partout les valeurs des
échanges des cycles du carbone, exprimées en Gt/C an, ratio rejets et puits. Mais si on exprime cela en proportion dans l’atmosphère, c’est très, très
peu.. Les 420ppm actuels, c’est 0.042 % du volume total de l’atmosphère….
Bref on peut observer les incohérences cette théorie définie
par Arrhenius, abandonnée pendant 60 ans, remise au gout du jour dans la fin
des années 50 entre autres par Roger Revelle, puis par Bert Bolin en 1988 un
des premiers directeurs du « GIEC ».
La position GIEC, est par nature, orientée dans le sens
réchauffement effet de serre CO2.C’est leur feuille de route initiale ;
chercher ailleurs, comment pourraient-ils faire d’ailleurs, sans se saborder…. Mais
quoiqu’on veuille nous le faire croire,
il n’y a ni unanimité, ni consensus de la communauté scientifique sur ce sujet.
Il y a consensus sur le réchauffement qui est un phénomène tangible ; quant
a l’origine de ce réchauffement, le doute subsiste ; la simple lecture des
blogs spécialisés contradictoires, sur lesquels la communauté scientifique
s’exprime, en est la meilleure illustration.
Et puis une
augmentation de la température moyenne sur la terre, n’a pas que des cotés
négatifs.
Quelle que soit
l’évolution climatique, le monde du vivant s’adaptera comme il l’a toujours
fait depuis la nuit des temps. C’est la sélection naturelle.
La nature prendra
toujours le dessus, elle a plus d’un tour dans son sac quand il s’agit de
déjouer les pronostics les plus pessimistes ...
A nous de nous adapter aux changements
en cours, ce qui signifie préserver nos écosystèmes de vie. Où l’on retrouve
les questions de la pollution et de la diversité biologique, qui ont été largement
des éclipsées par la lutte contre le réchauffement climatique, alors que ce
sont des objectifs environnementaux majeurs pour lesquels des plans d’actions
efficaces sont possibles.