@capobianco
Nous pouvons tout, ou presque, pour
décourager l’arrivée.
D’où 6 grands axes :
-
Envoyer, urbi et orbi, le message
que le vent a tourné à 180°,
-
en s’attaquant bille en tête
à l’immigration légale, qu’il convient de diviser au moins par
10.
-
– Trancher à la même
hauteur l’accès à la nationalité, qui doit cesser d’être
automatique.
-
– Contenir l’immigration
irrégulière, en divisant par 20 ou 30 les visas, y compris
étudiants, accordés aux pays à risques, en n’acceptant plus
aucune demande d’asile sur notre territoire, en abolissant toutes
les récompenses à la tricherie (aide médicale d’Etat,
hébergement, régularisations, débarquement de navires »
sauveteurs « ).
-
– Atténuer l’attractivité
sociale de la France, en supprimant toutes les prestations non
contributives aux étrangers, HLM compris, et en limitant à 3
enfants, par famille française, des allocations familiales,
revalorisées sans conditions de revenus.
-
– Dégonfler les diasporas,
en réduisant les types, durées et nombres de titres de séjour et
en excluant les renouvellements quasi-automatiques.
– Muscler
notre laïcité » chrétienne » pour l’adapter au
défi très différent de l’islam, en ne neutralisant plus
seulement l’Etat et l’école, mais aussi l’espace public, les
universités et le monde de l’entreprise.
-
Si ces propositions s’inscrivent dans
le cadre du droit existant, tant mieux, sinon il faudra le
changer, quel qu’en soit le prix. Car le retournement proposé
relevant désormais du salut public, sa férocité n’est que la
contrepartie du temps perdu. Je viens de vous présenter un
diagnostic.
À savoir que, si nous persistons dans
notre aveuglement, nous allons vers un pays, où, a minima et par
implosion lente, la vie ne vaudra plus la peine d’être vécue, ou,
a maxima, vers un pays, où, à force d’explosions, on ne pourra
plus vivre du tout.
On peut ne pas partager cette
évaluation et, dans ce cas, j’aurais parlé pour ne rien dire.
Mais on peut aussi y adhérer et, dans ce cas, les mesures avancées
sont notre dernière chance.Je vous accorderai volontiers deux autres
défauts. D’une part, mon caractère peut être qualifié
d’obstiné, en ce que je n’accepterai jamais d’affirmer qu’il
fait nuit en plein jour. D’autre part, c’est vrai, je suis
obsédé, mais mon obsession est uniquement tournée vers la France
qui vient, à échéances de 10, 20, 30 ou 40 ans : celle de nos
enfants et petits-enfants, auxquels notre devoir élémentaire est de
ne pas léguer un pays chaotique, alors que nous l’avons reçu de
nos aînés comme un cadeau magnifique.