@quijote
Les « changements climatiques », ça existe. On le sait. Y a des cycles naturels. Par contre aucune preuve que ce soit l’activité humaine qui provoque le « réchauffement climatique » observé, soit-disant, en ce moment. Le Giec est composé de spécialistes de la manipulation statistique. Là-dessus, c’est vrai qu’ils sont plutôt fiables.
Les Anglais non plus ne supportent plus les migrants. D’ailleurs, aucun peuple européen ne peut plus voir leurs gueules. Ça ne continue que parce que les décisions à ce sujet sont prises au forum économique de schwab, premier gouvernement unifié, mais non élu, des pays développés. Et que les élites de nos pays sont des traîtres.
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Bonjour quijote
Il est certain qu’une immigration incontrôlé et massive a des effets délétères.
délétères pour ceux qui viennent et aussi pour ceux qui les reçoivent, car les conséquences sont désastreuses pour tous .
les Européens qui se voient imposer ce tsunami migratoire pour des raisons idéologiques sont de plus en plus nombreux à refus er cette invasion, car cela crée des problèmes économique sociaux et sécuritaires.
Il n’y a aucune fatalité ni obligation, et continuer dans cette voie est suicidaire
Pierre
Brochand
Le 15 novembre, l’ancien patron des
services secrets et ambassadeur a prononcé un discours sur
l’immigration à l’Amicale gaulliste du Sénat. Un texte
exceptionnel que Le Figaro s’est procuré. Pierre
Brochand y résume tous les enjeux que fait peser une immigration
incontrôlée et propose des solutions.
je vous en envoie des extraits.
« Vous m’avez demandé de
parler d’immigration et j’ai suggéré qu’on ajoute « enjeu
central ». J’aurais pu aussi bien proposer « enjeu
principal ».
Pour deux raisons :
– D’un côté, j’estime que, de
tous les défis qu’affronte notre pays, l’immigration est le seul
qui menace la paix civile et, à ce titre, j’y vois un préalable à
tous les autres.
– D’un autre côté, l’immigration
exerce sur l’ensemble de notre vie collective un impact
transversal, que je tiens pour globalement négatif.
Il se traduit concrètement par une
tiers-mondisation rampante de la société française et sa
régression continue dans des domaines clés, tels que l’éducation,
la productivité, les services publics, la sécurité, la civilité,
etc.
En d’autres termes, si tout ce qui va
mal en France n’est pas la faute de l’immigration, loin s’en
faut, elle y participe dans une mesure, à mon avis, très
sous-estimée.
Disant cela, je précise aussitôt que
mon sujet n’est pas l’immigration en général, laquelle n’est
pas du tout un mal en soi, mais bien l’immigration très
particulière que nous subissons depuis 50 ans.
les sociétés « multi » sont
toutes vouées à se déchirer.
Que nous ne sommes pas plus « malins »
que les Libanais ou les Yougoslaves, pour faire « vivre ensemble »
des gens qui ne le souhaitent pas
Les immigrations
– La première a duré un
siècle. D’origine euro-chrétienne, discrète, laborieuse,
reconnaissante, régulée par l’économique et le politique, elle a
représenté un modèle indépassable de fusion réussie.
– La deuxième a commencé
dans les années 1970 et n’a fait que s’amplifier depuis. Elle
est l’exact contraire de la première.
C’est une immigration de
peuplement irréversible, qui n’est calibrée ni par l’emploi, ni
par le politique, mais engendrée par des droits individuels, soumis
au seul juge national ou supranational. Nous sommes, donc, submergés
par des flux en pilotage automatique, « en roue libre », dont
les Français n’ont jamais explicitement décidé.
Mais, surtout, l’écart identitaire
qui nous sépare des arrivants n’a aucun équivalent dans notre
Histoire.
Les immigrations
– La première a duré un
siècle. D’origine euro-chrétienne, discrète, laborieuse,
reconnaissante, régulée par l’économique et le politique, elle a
représenté un modèle indépassable de fusion réussie.
– La deuxième a commencé
dans les années 1970 et n’a fait que s’amplifier depuis. Elle
est l’exact contraire de la première.
C’est une immigration de
peuplement irréversible, qui n’est calibrée ni par l’emploi, ni
par le politique, mais engendrée par des droits individuels, soumis
au seul juge national ou supranational. Nous sommes, donc, submergés
par des flux en pilotage automatique, « en roue libre », dont
les Français n’ont jamais explicitement décidé.
Mais, surtout, l’écart identitaire
qui nous sépare des arrivants n’a aucun équivalent dans notre
Histoire.
Tous viennent du « tiers-monde », de
sociétés hautement défaillantes, et la majorité est de religion
musulmane, ainsi qu’originaire de nos anciennes colonies. De plus,
tous sont, comme on le dit aujourd’hui, « racisés ».
En feignant d’ignorer ce
déterminisme, nous avons été assez fous pour réinjecter chez nous
les ingrédients des trois tragédies qui ont causé nos pires
malheurs dans le passé :
– La discorde religieuse,
théoriquement enterrée en 1905
– L’antagonisme colonial, en
principe clos en 1962
– Le fléau du racialisme, dont nous
pensions être libérés depuis 1945.