Vu le peu qu’on savait sur ce produit vaccinal expérimental, au niveau des bénéfices à en attendre (par tranches d’âges) et surtout sur les effets secondaires immédiats et surtout différés dans le temps (aucun recul), on aurait dû suspendre immédiatement la délivrance pour les sujets non à risques ( a minima) dès qu’il fut établit par l’expérience qu’il n’empêchait ni de contracter la maladie ni de la transmettre.
En lieu et place ils ont tout fait pour supprimer l’échantillon témoin qui pourrait prouver qu’une énorme bavure a été commise.
On peut estimer que c’est involontaire, mais les faits sont établis.
Concernant la surmortalité anormale avérée un peu partout (où on a vacciné mais surtout où on a des registres peu ou prou fiables) et l’augmentation semble-t’il des pathologies invalidantes, on n’a pas à ma connaissance pu séparer un effet qui serait imputable au produit injecté plutôt qu’à un effet secondaire retardé du virus. Le virus comme le produit sont fortement soupçonnés d’induire des atteintes cardiaques qui varieraient d’un individu à un autre, pourraient évoluer à bas bruit plus ou moins vite, selon le nombre d’infections, d’injections, voire la combinaison des deux.
En principe lors d’une expérience, on surveille les cobayes comme le lait sur le feu. Inutile d’espérer qu’on surveille les 2/3 d’une population au niveau cardiaque, glycémique, cancérologique et encore plus illusoire d’imaginer que les responsables de cette expérimentation de masse imposée dans la violence, vont financer les études pour comprendre ce qui se passe.
Tous les pouvoirs, médicaux, politiques, médiatiques, juridiques (le Conseil d’Etat et le Conseil Constitutionnel ont jugé la violation flagrante du « Code de Nuremberg » comme chose négligeable) ont délibérément poussé à cette expérience, tenant de la roulette russe, au seul profit des firmes pharmaceutiques.
Pour l’anecdote, j’ai échappé depuis 3 ans à ce virus et je suis loin d’être un cas isolé. Comme on dit « WTF » ?...