@Mélusine ou la Robe de Saphir. Bonjour,
  Quels sont les jeunes qui prennent le temps de lire un livre aujourd’hui.
  Nous sommes à l’heure par l’image. L’image qu’on donne de soi. L’image de quelqu’un d’autre que l’on interprété avec sa propre vision.
  Les réactions des commentateurs précédents auxquels j’ai répondu, prouvent de facto, que l’on ne lit plus. Que l’on ne sait plus lire. Qu’il faut résumer à outrance dans du Reader Digest sans chercher les liens entre les faits en remontant au source jusqu’à leur embouchure. 
  J’avoue que quand j’étais au boulot, je n’ai jamais eu le temps de lire beaucoup d’autres choses que des rapports d’activités dont j’étais responsables au cours de mon management dans le maniement des chiffres. Je n’ai pas été formé dans la section littéraire.
  La performance était le mot d’ordre principal. Dans le paradigme numérique dont j’ai été à la base des concepts, pour des raisons de marketing, il fallait toujours faire plus que son voisin concurrent.    
  J’ai rattrapé mon retard de romans et autres livres à la retraite.
  Ce matin, le billet du journaliste Arnault Ruyssen avait son analyse qui prend près d’une heure dans son « Déclic — Le Tournant ».
  Que j’ai ajouté encore comme complément à ce « mini-livre » qui pourrait être la conclusion :  « Déclic Le tournant » de la semaine : « Les experts du climat et sur la biodiversité convergent vers l’idée que nous allons vers un monde de plus en plus instable et fluctuant à cause de l’activité humaine qui a progressivement déséquilibré la biosphère et la physique du globe. Certains estiment qu’il faut redéfinir la notion de progrès humain, changer d’axe pour basculer d’une quête de performance à une quête de robustesse en s’inspirant de la nature qui arrive aux mêmes résultats en beaucoup plus de temps par la robustesse, l’adaptabilité aux fluctuations plutôt que de la performance ».