@I.A.
Merci pour votre réaction-commentaire qui me semble des plus
intéressants à lire et relire et surtout à analyser pour en tirer la substantifique
moelle...
Je voudrais vous signaler que contre toute vraisemblance je
n’ai pas été vraiment « observateurs »
impliqué. En effet, moi aussi, « je me
préoccupais essentiellement de ma petite gueule... » à l’époque.
J’abonde dans votre sens et je reconnais votre perspicacité
lorsque vous invoqué dans mon cas : « l’exorcisation d’un trauma post-guerre ». Vous avez raison, mon
parcours depuis sans doute bientôt 32 ans, est probablement celui d’une psychothérapie
post traumatique. (Ce qui excède certains de mes familiers les plus proches).
Pour : « En
1968, destination provisoire : le Rwanda... plein de vestiges concrets
d’autres événements aussi graves », pourriez-vous y faire référence
plus concrètement ?
Vous dites ; « Jamais
je ne me les repasserai en boucle comme vous le faites ». Je vous
comprends dans la mesure où les mécanismes de résilience sont propres à chaque
type de trauma, à chaque type de de sensibilité (et ce sans vouloir y apporté
une échelle discriminative).
Je suis tout à fait d’accord que « la colonisation fut une guerre pernicieuse (c’est de l’esclavagisme en
fait), et « l’indépendance » fut généralement une boucherie provoquée
et entretenue, pour une conservation des principaux intérêts. »... Ce que
vous évoquez est une partie intéressante de ce que je tente d’exprimer en
établissant un « lien » ente la tragédie du Rwanda 1990-1994 et celle
d’Ukraine de 1994 2022.
Vous dites : « les
Américains n’ont jamais fait que copier les « opérations » des colons européens
de l’époque ». Je pense que ce que font certains « intérêts »
actuels procèdent de stratégies continues, effectivement .... à la différence
qu’un citoyen lambda peut (encore) en discourir avec d’autres ;
Bien à vous.