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Commentaire de LeMerou

sur COP 15, la farce continue


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LeMerou 21 décembre 2022 07:44

@Octave Lebel

« La Terre se meurt, mais la pensée qui l’étudie n’a jamais été aussi vivante et fertile »

Je suis désolé mais c’est désopilant ! 

J’aime bien le média « Reporterre » ont peut y lire des choses intéressantes.
Pour moi le fond du problème est « l’écologie », c’est un qualificatif qui à tellement été bradé, utilisé pour tout et n’importe quoi qu’il en a perdu son sens réel. De surcroît il a tellement été aisément vilipendé par ses détracteurs au vu des comportements des défenseurs de « l’écologie » qu’aujourd’hui cela ne veux plus rien dire.

Les mouvements dits « écologistes » ne font qu’utiliser l’esprit de révolte bien connu d’une tranche d’âge parfaitement utilisatrice (à l’insu de leur plein gré.... smiley) du modèle économique, prête à s’insurger de tout et n’importe quoi.

Autant que j’approuve par exemple ce qui s’est fait à Notre Dame des Landes, ceux resté sur place ont la foi, la vraie, l’ont prouvé par leur actes, eux seuls sont les dignes représentants de ce que l’ont pourrait appeler l’écologie. Même si leur comportement, leur mode de vie n’est pas sans rappeler un passé dont ont ne cesse de s’extraire sous le prétexte d’évolution. Hélas ils sont moqués, 

Que je j’abhorre tout ces penseurs, ces démonstrations ou contestations aux fondements douteux voir complètement idéologique « d’écolos » des villes (politiques y compris) Qui une fois « l’acte » terminé, la conscience en paix ou soulagée s’en retourne vivre en se repaissant dans la société.

Le problème réel de « l’écologie » ou de « l’environnement » est qu’il ne savent pas réellement quoi faire, surtout hiérarchiser les priorités pour structurer leur « actions », s’éparpillant en colloques, en universités ou en « sittings », pour mener des tas « actions ou combats » futiles n’ayant aucun impact réel, mettant à mal le pragmatisme qui devrait être la principale constituante de ce domaine.

Ces dernières ne faisant en autre qu’infantiliser un peu plus l’écologie et ses défenseurs

Sortir aussi du radicalisme comme par exemple l’idéologie forcenée anti-nucléaire, pour le voir sous un autre jour comme étant pour l’instant l’unique moyen technique de transition en attendant soit une amélioration notable des progrès de la « science », ou un changement civilisationnel global vers la décroissance.

Bref, c’est pas gagné.

L’écologie se devrait d’être pragmatique et radicale dans le suivi d’un programme d’actions établis sur la base de faits scientifiques, de faits incontestables, surtout non idéologique, ne faisant pas l’objet aussi d’incessantes remises en question interne.
Mais bien en rapport avec le changement progressif qui s’impose apportant des solutions viables, durables, reproductibles.
Leur évitant aussi d’être « ridiculisés » médiatiquement. Car en exagérant un peu, sauter de la protection des perdreaux, à celles des hannetons, tout en promouvant avec force l’éolien par exemple (dont on connaît aujourd’hui les limites techniques et physiques) ne fait pas sérieux, ou plutôt confirme le bordel régnant.

 


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