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Commentaire de velosolex

sur Great Reset : après l'été viendra le froid et la faim


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velosolex velosolex 4 août 2022 10:04

@doctorix, complotiste

Marc Garlasco, conseiller militaire à PAX, une ONG néerlandaise. Cet ancien du Pentagone spécialisé dans l’analyse post-frappe a enquêté pour les Nations unies sur des crimes de guerres commis en Afghanistan, en Irak, en Syrie ou encore en Libye. Il forme également des enquêteurs qui opèrent actuellement en Ukraine.

Interrogé par CheckNews, il explique  : « Les preuves ne sont pas assez claires pour dire ce que c’était - il existe plusieurs possibilités - mais ce qui est sûr, c’est ce que ce n’était pas un Himars. Ce n’est tout simplement pas possible. » Qu’est ce qui permet d’être aussi affirmatif  ? L’absence de cratère, d’impacts de shrapnel (ces petits bouts de métaux projetés par les obus et les missiles) sur les parois du toit, ou encore le fait que les lits et les murs soient encore en place après l’explosion, peuvent être constatées sur les images diffusées par les Russes eux-mêmes.Si le porte-parole de l’armée russe a d’abord affirmé que « huit employés du centre de détention ont subi des blessures plus ou moins graves », la défenseure des droits humains de la république autoproclamée de Donetsk Daria Morozova a ensuite affirmé dans une autre interview diffusée sur le même canal officiel (Zvezda) qu’« heureusement, les employés du centre de détention provisoire n’ont pas été blessés, ils sont en bonne santé. Malheureusement, seuls les prisonniers ont été blessés ». Un bilan qui soulève largement la question de leur complicité, d’autant que comme le montrent les images satellites, cette frappe était particulièrement ciblée sur un seul bâtiment.


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