@Duke77
Vous faites étalages de toute l’idéologie fascisante des poutinolâtres. J’ai expliqué cela aussi dans mon article intitulé « les défenseurs de Poutine ». Je vous offre un copier/coller :
"Le ciment de l’extrême-droite est sa totale adhésion à la politique
de Poutine. Celui-ci représente dans leur imaginaire collectif une
stature peu commune, le modèle du leader fort, déterminé à combattre. Il devient le symbole de l’extrême-droite d’occident qui veut une
internationale nationaliste autoritaire. Il défend les valeurs de
« l’occident chrétien » en s’opposant à la « dégradation des mœurs » des
« pays décadents ».
Il s’agit d’abord d’une fascination pour la
violence, pour cette puissance que Poutine veut abattre sur ceux qu’il a
décidé de punir sans craindre les jugements du monde. Les poutinolâtres
répètent à l’envi leur métaphore de l’ours, animal puissant et gentil,
qui devient redoutable contre ceux qui l’ont énervé. Poutine est donc
toujours pour eux en état de légitimité. S’il agresse c’est parce qu’il a
été provoqué. Il peut raser des villes entières comme Grosny, Alep ou
Marioupol. Ses « opérations meurtrières spéciales » sont pleinement
justifiées pour punir les populations qui lui résistent. Son
ultra-nationalisme de Grand-Russe et sa soif de reconquête du grand
Empire des tsars est un exemple pour tous les nostalgiques des guerres
d’expansions coloniales ou impérialistes. Poutine est désormais le
prototype de l’excellent chef d’état nationaliste et anticommuniste.
Nostalgique d’un ordre antérieur où personne ne défiait l’autorité
russe, il veut éliminer tous les obstacles à sa soif de reconquête. Il
agit au nom d’une « dénazification » qui prolongerait celle qu’il
attribue à la dictature stalinienne. Ce sont, en réalité, les peuples de
l’URSS, tous tyrannisés par Staline, qui se sont sacrifiés pour gagner
cette guerre contre le nazisme. C’est maintenant contre ces mêmes
peuples que Poutine se retourne."
Vous apportez de l’eau à mon moulin.