Ce discours est vraiment immonde.
Le gouvernement ne reconnaît déjà absolument pas son meurtre de masse, commis au nom d’une idéologie européo-libérale — demandant, justement, la baisse drastique des dépense dans le domaine de la santé, ce qui a été effectué par l’Etat servile français.
« Nous ne sommes pas allés assez vite »...c’est comme demander à un quelqu’un de courir le 100 mètres après lui avoir cassé les deux jambes...Qui est ce « nous » ? Le pouvoir ou bien l’hôpital ? J’ai l’impression qu’il met tout le monde en cause alors que seule l’élite s’est réservé le droit de bousiller le système de santé.
Il parle même « d’effort pour la nation », donc de dettes futures (impôts) qui s’ajouteront déjà aux impôts que les Français payent (sans savoir pourquoi la plupart du temps vu les montants astronomiques).
Annoncer la revalorisation des salaires du personnel n’a aucun sens. Non pas qu’ils ne le méritent pas mais parce que ça ne résoudra certainement pas les problèmes du système hospitalier. Autant dire qu’on leur donne une sucette comme aux gamins.
Curieusement, on ne parle beaucoup plus de « plans d’investissement » comme si on était dans une banque ou une entreprise. Donc majoritairement « pognon ».
La sur-bureaucratie signifie qu’ils vont probablement encore licencier en masse des gens sous prétexte qu’ils « ne sont pas utiles »/« qu’ils encombrent le système ».
Parlant des maisons de retraite, il ferait mieux de parler des conditions scandaleuses des retraités dans ces maisons de mort programmée, du prix abominable qu’on doit y payer, de la bouffe abominable pour diminuer les coûts, du business scandaleux que les établissements engendrent dans ce modèle économique inadmissible dans une sphère où tout cela devrait être banni.
Honte à Olivier Véreux, Ministre du Suicide sanitaire et Business hospitalier !