@Spartacus
Tu ne m’as pas déçu sparta, encore une fois tu es à côté de
la plaque.
En premier lieu ai-je une seule fois utilisé le terme bio ?
Ha bah non, d’ailleurs le bio est quasiment mort le jour ou
tes adorables industriels ont mis le nez dedans, pour nous vendre des produits
sous plastique qui ont fait 2 ou 3000 bornes le tout fabriqué par des quasi
esclaves..
Je te le répète, je me fou d’être dans le camp du bien ou du
mal pour la bouffe je suis dans le camp du bon.
Je te remercie d’ailleurs d’avoir pris pour exemple les
producteurs de grands crus classés, vu
qu’on est là chez des exploitants qui dosent savamment les produits phytosanitaires
et les utilisent toujours à bon escient pour une simple raison, ils savent pertinemment
que chaque traitement peut avoir une influence néfaste sur la qualité du raisin.
D’ailleurs, étrangement ils sont de plus en plus nombreux à
passer au bio, c’est ballot hein !
Ho attend sparta j’suis tombé sur quelques perle là.
Un saint-Emilion bio rhooo.. Allé pour une fois fais
attention à ce qu’ils disent on y reviendra plus tard :
Bien
qu’avec modération, la chimie s’était sournoisement insinuée dans nos
pratiques. De concession en compromis nous mettions en danger ce que nous
avions de plus précieux : notre santé et
la qualité de nos vins par l’appauvrissement progressif du sol et donc du
terroir. Peu à peu, nous perdions notre identité.
Pas mal mais celui-là il vaut son
pesant de cacahuètes.
Dans les autres grands
vins du Bordelais, Château Latour, un Pauillac premier cru classé, et Château
Margaux sont aussi en conversion bio, Château Climens, un Sauternes Barsac est
en biodynamie, a relevé Nicolas de Rouyn. "La plupart des grands dégustateurs estiment que les raisins bio
donnent des vins qui ont un peu plus de profondeur et un peu plus de fruit que
dans l’agriculture conventionnelle" a-t-il souligné, en saluant la
démarche de « retour au sol » de Château Angélus.
Caramba encore raté coco !!!
Méprisant, sectaire, ignorant, stupide, ça ne me dérange
pas, surtout venant de toi,.
Mais au moins je suis droit dans mes bottes, je connais
assez bien l’industrie pour savoir que les saletés qu’ils osent encore appeler
fruits et légumes n’ont pas été sélectionnés pour leur gout et leurs qualités
nutritionnelles.
Dans l’ordre du choix de la sélection tu as la vitesse de
production, la résidence aux maladies, la résistance aux transports, la durée de conservation, la capacité à murir
à la demande.
Résultat, quand tu connais le gout des vrais fruits et
légumes : c’est de la daube insipide.
En fait plus je te
lis plus je me rends compte que tu es binaire, comme la réalité que tu
idéalise, après-guerre les marchands d’armes nous ont refilé leurs saloperie
plutôt que de les utiliser en complément de techniques qui fonctionnaient bon
an, mal an depuis des millénaires, mais non on les a utilisé à l’excès jusqu’à aujourd’hui ou les sols sont mort.
Tu grattes un petit peu tu te rends compte que les
rendements de l’agriculture intensive stagnent voir régressent. Là où il
fallait 1 calorie pour en produire 2 en 1940 il en faut 7 pour en produire 1.
Après encore une fois tu confonds tout et n’importe quoi, je
ne t’ai jamais parlé de mes connaissance en agronomie mais de ma connaissance
en produit de qualité, de la tu extrapole des absurdités qui n’étonneront
personne sur ce site.
J’en conclu que tu à du lire quelque part une citation de l’étude
qui démontre que le bio à un rendement inférieur de 25% par rapport à l’intensif.
Là encore ton petit cerveau binaire n’a pas été plus loin parce qu’en grattant
un petit peu :
Les légumineuses
cultivées en bio ont un rendement inférieur de 8 % environ à celles issues de
l’agriculture conventionnelle ; les oléagineux -11%, les vivaces -7 % environ,
dont les fruits -3%. A l’opposé, certaines cultures voient leurs rendements
baisser fortement quand les normes bio sont appliquées : le blé bio est
quasiment à -40% de rendement à l’hectare, l’avoine -33% environ. La principale
conclusion de cet article réside dans le constat que l’agriculture bio ne
pourra pas nourrir la planète sans agrandir les surfaces exploitées.
Excepté le blé et l’avoine ce n’est pas vraiment
problématique…….
Sinon au passage mes tomates c’est 10 kg minimum par pieds
en plus sans la moindre trace de produits chimique.
J’allais oublier, les limaces bah figure toi que le grand
père il se faisait boulotter une salade de temps en temps, il disait
philosophiquement que c’était son dû à la nature. Il s’en inquiétait pas plus
que ça, les hérissons faisaient le boulot. Aujourd’hui à force de décimer leur
nourriture ils disparaissent…comme 25% des espèces animales mondiale, mais ça,
ça ne doit pas te déranger.
A côté de ça on redécouvre que d’autres modes de production
fonctionnent sans produits phytosanitaires, sans d’engrais de synthèse le tout
faiblement mécanisé.
Et là j’te mets un billet qu’en plus c’est du bon.
Mais bon je fais confiance aux types que tu adules, ceux qui
ont un porte-monnaie à la place du cœur et une calculatrice à la place du
cerveau pour faire tout leur possible pour que ça ne se développe pas tant qu’ils
n’auront pas pu tirer jusqu’au dernier fifrelin de leur modèle moribond.
Que leur importe, que ça
tue les sols, les pollues ainsi que les mers et rivières, qu’ils soient
en partie responsable de la disparition de la faune tant que ces crevards
peuvent continuer à faire du pognon.
Même quand toxicité est prouvée que les produits sont interdits ils font quoi font tes potes ?
J’te le donne en mille ils continuent à les utiliser !!!