Ce qui est important de tirer comme leçon dans cette « révélation » d’une histoire d’alcôve élyséenne, ce ne sont pas les turpitudes du couple qui n’intéressent personne, et les états d’âme de la dame éconduite, dont on se contrefiche, mais bien la portée sociale et psychologique du vocabulaire choisi( d’après les dires de l’auteur du livre en question), par le Chef de l’Etat qui gloserait sur les édentés.

De se faire qualifier par l’oligarchie de toutes sortes de noms aussi méprisants les uns que les autres : « geux », « sans-grades », « petits et les obscurs », les classes populaires en ont l’habitude, et c’est odieux.

 Constatons simplement que l’Oligarchie au pouvoir aujourd’hui est de plus en plus arrogante, comme elle ne l’a jamais peut-être été, de plus en plus guerroyante envers le Peuple, avec des projets monstrueux dans sa besace (réduction de la population mondiale, destruction des classes moyennes, enrichissement personnel, paupérisation des classes laborieuses, destructions des acquis sociaux, déstabilisation de la famille, démolition des structures de la république, comme l’éducation nationale, de l’Agriculture, de l’industrie française, etc... etc...
Allégeance à l’OTAN, aux banques et aux multinationales, faisant de la France un simple protectorat des US, avec bientôt TAFTA ET TISA

Le peuple ? Les sans dents ? Eh oui, tout est fait est mis en place pour lui limer le ratelier, lorsque les ploutocrates au pouvoir exhibent en permanence le leur, de ratelier, blanc, impeccable, et le fruit de centaines d’euros sur fauteuil du stomatologue de renom.

Et pendant ce temps, les gueux, les petits, les sans grades, ces... « salauds de pauvres » ! resteront avec leurs chicots pourris et leur denture gâtée. Les gueux puent du bec, non pas parce qu’ils auront bouffé trop de caviar au Fouquet’s, mais parce qu’ils n’auront pas même 100 euros en poche en fin de mois, pour se faire soigner les dents, car les lois iniques des ploutocrates au pouvoir ont depuis longtemps sabordé les droits sociaux fondamentaux, comme l’accès à la santé !

Cordialement.